De Mike Bartlett
C’est l’histoire d’une famille à travers laquelle résonne l’évolution politique
et idéologique de la société anglaise de 1967 à 2011.
Scan d’une génération, à travers le huis clos d’une cellule familiale, la pièce donne à voir des individus en proie à leurs problématiques existentielles. Avec pour titre Love, Love, Love en référence au célèbre morceau des Beatles qui aura marqué la jeunesse de la fin des années 60 à … aujourd’hui. Rendre compte de l’effritement progressif de l’utopie avec une question : comment réinventer le monde aujourd’hui ?
CE QU’EN DIT LA PRESSE
« Avec Love, love, love, Nora Granovsky, artiste associée à la Comédie de Picardie, met en scène une famille presque banale, dans une pièce acérée et désespérée. »
L’Humanité – Gérald Rossi – 27 novembre 2017
« Dans une scénographie de Pierre Nouvel usant du juste nécessaire (il signe également les vidéos), la mise en scène de Nora Granovsky déploie sens du concret et entrain. Précise, centrée sur le jeu d’un quatuor d’acteurs talentueux, elle investit tous les espaces de drôlerie qu’offre le texte sans oublier d’éclairer ses parts de violence, de noirceur et de désespérance. »
La Terrasse – Manuel Piolat Soleymat – novembre 2017
« Une mise en scène de Nora Granovsky, excellente directrice d’acteurs, jeune femme qui a l’autorité et l’intelligence indispensables. »
Le Figaro – Armelle Héliot – 24 novembre 2017
« Plume acérée, le dramaturge anglais esquisse un portrait au vitriol de ces adultes sacrifiés sur l’autel de la mondialisation et signe une pièce douce-amère terriblement drôle, sensiblement mélancolique, que la mise en scène fine, enjouée, de Nora Granovsky souligne avec ingéniosité. »
Mediapart – Olivier Frégaville-Gratian d’Amore – 20 novembre 2017
Photos Ludo Leuleu